Obtenir des revenus complémentaires
Un Plan d’Epargne en Action, c'est quoi ?
Le plan épargne action (PEA) est un produit d'épargne réglementé. Il permet d'acquérir et de gérer un portefeuille d'actions d'entreprises européennes, tout en bénéficiant, sous conditions, d'une exonération d'impôt. Il représente un choix d’investissement plus dynamique que certain autres produits, vous permettant de rechercher un rendement plus élevé dans un cadre fiscal avantageux sur les plus-values. Il est régie par le code monétaire et financier, articles L221-30 à L221-32-7).

C’est un produit de diversification d’épargne, qui permet d’acquérir, de se constituer et de gérer un portefeuille de différents titres d’actions de société, de parts de OPCVM, d’ETF…
Toute personne majeure peut ouvrir un PEA à condition d’être domiciliée fiscalement en France et dans la limite d’un plan par personne.
Ils existe trois types de PEA :
- le PEA « classique bancaire » : il est composé du compte titre et d’un compte espèce : les sommes versées sur le compte espèce peuvent alimenter le compte titre.
- le PEA « classique assurance » : il prend la forme d’un contrat de capitalisation et permet d’investir en unité de compte éligible au plan.
- le PEA-PME dédié aux investissements dans les petites et moyennes entreprises et de taille intermédiaire.
Le plafond de versement est fixé à 150.000€.
Le plafond de versement est fixé à 150.000€.
Le plafond de versement est fixé à 225.000 €.
Le cumul global des versements pour les PEA ne peut excéder les 225.000€ par un même titulaire.
Il existe également le PEA « Jeune », éligible pour les personnes entre 18 et 25 ans qui sont rattachées au foyer fiscal de leurs parents. L’objectif est de permettre aux jeunes épargnants de se familiariser avec les produits financiers, la gestion de leur épargne.
Le PEA « jeune » est rattaché au compte d’un des parents, les versements y sont plafonnés à 20.000€ mais ne viennent pas en déduction des versements des parents. Une fois que l’enfant quitte le foyer fiscal des parents ou au plus tard quand arrive son 25ième anniversaire, son PEA « jeune » devient un PEA « classique ».
Pendant la durée du PEA, les gains (dividendes, plus-values) ne sont pas fiscalisé, vous pouvez acheter et vendre librement sans fiscalité.
La fiscalité sera calculée au moment du retrait ou rachat, et en fonction que le PEA ait moins de 5 ans ou plus de 5 ans :
PEA ouvert depuis moins de 5 ans : Il est possible d'effectuer un retrait ou rachat sur votre PEA pendant les cinq premières années de son existence, mais cela entraine alors la clôture du plan (sauf exception).
La fiscalité sera composé :
- des prélèvements sociaux 17,20% (taux en vigueur actuellement)
- l’imposition des produits 12,80% (sauf si vous optez pour une imposition au barème progressif de l'impôt sur le revenu).
PEA ouvert depuis plus de 5 ans : Il est possible d'effectuer un retrait ou rachat de votre PEA après ses cinq premières années d'existence, ce dernier ne sera pas clôturé et les gains de votre PEA sont exonérés d'impôt sur le revenu. La fiscalité sera composé :
- des prélèvements sociaux 17,20% (taux en vigueur actuellement)
Plusieurs possibilité de retrait sont possibles :
- en capital : vous avez la possibilité d’effectuer de façon ponctuel des rachats programmés afin d’obtenir des revenus complémentaires en fonction de vos besoins, ou d’effectuer un retrait total.
- en rente : les sommes sont converties par la compagnie d’assurance et vous assure une rente tout au long de votre vie. Cette rente viagère est défiscalisée mais reste sujette aux prélèvements sociaux (la fraction de la rente assujettie aux prélèvements sociaux dépend de l’âge au jour du 1er versement de votre rente (appelée arrérage) :
- les deux : effectuer un retrait partiel et convertir le restant en capital.
L’immobilier : la pierre, le papier…
L’investissement immobilier est pour bon nombre un choix d’investissement « sur ».
Qui n’a pas déjà entendu que la pierre est toujours et restera un investissement rentable dans le temps ?
Afin de vous accompagner à faire les meilleurs choix, que ce soit en immobilier classique ou acheter de la « pierre papier », votre conseiller en gestion de patrimoine vous accompagne pour vous proposer des solutions personnalisées en adéquation avec votre situation patrimoniale actuelle, et vos besoins de demain.
En nom propre, via une société, en démembrement… des stratégies qui doivent être mise en place au départ afin d’optimiser dès le début vos objectifs patrimoniaux (retraite, transmission, revenus supplémentaire, réduire la pression fiscale…).
Nous vous proposons de vendre vos biens en tenant compte du marché d’aujourd’hui et des changements de demain, avec notre expertise d’agent immobilier.
Nous vous accompagnons dans la recherche de vos biens en tenant compte de vos objectifs (résidence principale, secondaire, investissement locatif…), dans le financement et dans la projection de rendement (location nue, meublé court ou long séjour), jusqu’à la signature de l’acte authentique et même après.
Les SCPI sont des organismes de placement collectif prenant la forme d’une société non cotée en bourse qui ont pour objet exclusif d’investir l’épargne collectée auprès de nombreux investisseurs dans l’acquisition et la gestion de bien immobilier dédié à la location.
Les sociétés sont régulées et encadrées par l’autorité des marchés financiers (AMF), elle leur impose un cadre et s’assure de l’exactitude et de la transparence des informations délivrées aux investisseurs.
C’est un véhicule d’investissement ou il peut être plus facile d’investir que dans l’immobilier classique ; elle permet notamment l’acquisition d’immeubles qui sont peu accessibles aux particuliers.
Les sociétés de gestion s’occupe de trouver les biens immobiliers, de les acheter, de les mettre en location, de les gérer, de les arbitrer si nécessaire... Elle décide du montant de la distribution du résultat aux associés. La société de gestion s’occupe de tout.
Elles vous permettent de vous prémunir contre certains risques ou vous seriez seul à les assurer en investissant dans un bien locatif seul, contre les risques de valorisations, de vacances locatives, de mauvais locataires….
Il existe plusieurs types de SCPI, les plus courantes sont :
- les SCPI « d’entreprise », dites « de rendement » : elles permettent de percevoir un revenu locatif régulier. Elles se composent d’une ou plusieurs thématiques comme : des bureaux, des commerces, dans des secteurs spécifiques (santé, hôtellerie…)…
- les SCPI « d’habitation », dites « fiscales » : elles détiennent un patrimoine d’immeubles à usage d’habitation et peuvent parfois générer un déficit et permettre de réduire l’imposition (sous réserve de conserver les parts pendant une durée minimale à partir de la signature du bail).
Les immeubles détenus par les SCPI peuvent être investis en France, dans des régions, villes spécifiques ou très ciblées. Mais également hors de France, en zone européenne ou non.
Cette stratégie géographique s’inscrit dans une diversification de risque.
Les SCPI sont un placement à long terme (10 ans minimum recommandé) : vous investissez uniquement des sommes que vous n’aurez pas à utiliser avant des années. Elles permettent une diversification de vos placements.
Un revenu complémentaire : Un rendement distribué trimestriellement (acompte) ou annuellement, un rendement immédiat (varie selon la politique de distribution), net de frais (avant fiscalité) qui se situe en général entre 4 et 6% par an.
Aucune gestion : les sociétés de gestion s’occupent de tout.
Les revenus : Le rendement que les SCPI vous distribuent sont imposés dans la catégorie des revenus fonciers. Ils sont soumis à l’impôt sur le revenu à votre taux marginal d’imposition, et aux prélèvements sociaux de 17,2%. La fiscalité des revenus peut varier en fonction que tout ou partie du patrimoine de la SCPI se trouve en France ou non. Certain pays bénéficie d’un régime fiscal bien plus attractif.
La cession : La cession des parts de SCPI rentre dans la plus-values des particuliers,la plus-value est exonérée d’impôt après 22 ans de détention et de prélèvements sociaux après 30 ans.
Les frais de souscription varient d’une SCPI à l’autre, ils sont en générale inclus dans le prix de départ de la part de souscription et représente 8 à 12% de la valeur de la part. Certaines SCPI peuvent proposer des stratégies différentes, en proposant des frais de souscription moindre.
Toutes les informations importantes doivent figurer sur le rapport annuel de la SCPI, ils sont des éléments important à prendre en compte dans votre choix, certain éléments sont à prendre en considération plus que d’autres et notamment :
- taux d’Occupation Financier : Une bonne SCPI possède un taux d’occupation Financier supérieur à 90%, il correspond au taux d’occupation des locaux (rapport entre les loyers facturés et l’ensemble des loyers facturables).
- les réserves : celles dont dispose la SCPI et qui lui permette, en cas de difficultés passagères, de faire face. Elle peut piocher dans cette réserve pour maintenir le rendement (= montant du report à nouveau).